Des colorants alimentaires qui déstabilisent le comportement de nos enfants. Certains colorants alimentaires sont reconnus comme pouvant induire une hyperactivité et une baisse de l’attention. Notre société est confrontée à de plus en plus d’enfants hyperactifs et impulsifs, et ce à un âge de plus en plus jeune, en attestent les témoignages des acteurs de la petite enfance. Ces enfants ne peuvent s’empêcher de bouger, ont des troubles de l’attention remarquables par la difficulté à se concentrer. Leur impulsivité fait qu’ils agissent avant de réfléchir. il y a possibilité de réactions agressives. Les conséquences, chez l’enfant, seront le plus souvent des difficultés d’apprentissage, surtout scolaire. La baisse de l’attention et l’hyperactivité sont des troubles assez fréquents avec une prévalence de 3 à 5 % des enfants d’âge scolaire, soit un à deux enfants par classe ! et 7 % des adultes ont ce profil dans la population française. Il a été mise en évidence, par des tests d’exclusion-réintroduction, la responsabilité de certains additifs. Les colorants alimentaires sont des toxiques sur le comportement connus depuis plus de trente ans. Dès 1975 on a dénoncé l’implication des colorants alimentaires artificiels dans la possibilité d’induire des effets indésirables comportementaux chez les enfants. Actuellement, on peut dire qu’il existe une imputabilité des colorants alimentaires synthétiques dans les troubles de l’attention avec hyperactivité (ou aDHD), ce qui a amené le parlement européen à légiférer. A été votée en décembre 2008, au Parlement européen, une nouvelle disposition d’étiquetage obligatoire des produits contenant des additifs colorants. Conformément au sou- hait du Parlement, le règlement prévoit que les produits alimen- taires qui contiennent les colorants alimentaires suivants – jaune orangé (e 110), jaune de quinoléine (e 104), carmoisine (e 122), rouge allura (e 129) tartrazine (e 102) et ponceau 4r (e 124) – devront comporter un étiquetage précis (le nom et le numéro e). Ce produit devra mentionner que ces colorants « peuvent avoir des effets indésirables sur l’activité et l’attention chez les enfants ». Notre rapport à la nourriture : quel est-il ? Où en est-on ? tout change, de nos jours, et tout change très vite. L’évolution et les modifications de l’environnement de l’homme, commencées au début du siècle dernier, se sont accélérées ces vingt dernières années. L’industrialisation de nos sociétés fait que la majorité de nos actes sont orientés vers la consommation et il devient de moins en moins simple de se nourrir, tout devient opaque...... La population d’obèses change, et on peut être effrayé à juste titre de l’orientation des traitements actuels. On assiste actuellement à la plus grande mutilation à grande échelle que l’homme peut s’infliger, et ce en toute légalité, avec une prise en charge par la sécurité sociale: le by-pass. Les obèses sont de plus en plus jeunes. il n’est pas rare de voir des enfants en France peser cent cinquante kilos, ne pouvant marcher. Cette chirurgie bariatrique largement vantée pour son action «efficace et positive » dans les obésités réfractaires est le fanion/stigmate/reflet de notre incapacité collective à combattre la maladie du savoir-vivre. Il est nécessaire que l’homme fasse un retour sur lui pour retrouver les éléments essentiels de son rapport avec la nourriture, lien subtil, intime et personnel qui ne peut que l’élever plutôt que le ramener, comme c’est le cas actuellement, vers la terre, puisque l’homme, du fait du développement de son obésité, devient plus large que haut. Il importe que l'homme respecte l'aliment et comprenne ce qui l'unit à lui et établisse un rapport plus vrai, plus satisfaisant, plus bénéfique avec les aliments. La voie de la sagesse alimentaire vous propose de connaitre les rythmes cosmiques, d'apprendre à être bien avec votre assiette, de vous ouvrir à toutes les nourritures, d'opter pour l'harmonie intestinale et de respecter le plus petit. Une façon de grandir au-dessus de son assiette. |